
Le fromage blanc 0% est intéressant je pense car il contient peu de calories, n'est pas sucré etc..
Mais j'ai entendu dire, par Enzo Foukra si je ne me trompe pas, que le lactose épaississait la peau, c'est vrai ?!
Modérateur : moderation
Cela fait longtemps que je ne l'avais pas entendu celle là !le fromage blanc épaissit la peau ? bla
Je me tue à dire que les protéines ultrafiltrées à froid ne sont peut-être pas aussi anodines qu'on veut bien le croire. Si on cuit ou transforme nos aliments, ça n'est pas pour rien. Là, on va dans le sens contraire (un peu comme avec la mode du cru). L'ironie, c'est que les gens qui prennent les nouvelles protéines high tech veulent bien faire et essaient de se faire du bien. Et l'autre pire, c'est que ça devient difficile de trouver les anciennes formes de protéines qui soit disant sont nocives, beurk, etc.Paddy a écrit :Le problème du lait et de ses dérivés c est l hormone de croissance du veau.
Il y a 30 ans ,on faisait bouillir le lait ,ce qui cassait les chaines d hormones.
Maintenant le lait UHT et encore pire le micro filtré ne détruisent plus ces hormones.
D autant que les vaches sont traitées avec des hormones progestives pour produire plus de lait ( autrement ,elles ne sont pas rentables)
J ai peut être tord, mais je ne veux pas le regretter pour l avenir.
Ça pourrait être un problème si :PaddyBerlin a écrit : Le problème du lait et de ses dérivés c est l hormone de croissance du veau.
Il y a 30 ans ,on faisait bouillir le lait ,ce qui cassait les chaines d hormones.
Maintenant le lait UHT et encore pire le micro filtré ne détruisent plus ces hormones.
Lapsus ? Orthosympatique et sympathique c'est la même chose. En tout cas digérer et dormir correspondent à la même sollicitation du parasympathique, car nous sommes prévus pour digérer au repos et non en situation de combat ou de fuite (qui exciteraient les voies orthosympathiques et inhiberaient la digestion).PaddyBerlin a écrit :On est bien d accord.
C est la diminution de la sécrétion de cortisol, qui fait que l on passe d un système nerveux sympathique à l orthosympathique.l orthosympathique envoie au cerveau de mettre en veille les fonctions qui ont besoins le plus de ressources en énergie.
Si on mange juste avant d aller dormir, le système digestif sera obligé d obéir à un ordre contradictoire.
Uniquement pour le bien-être des vaches (fatigue, pis douloureux, etc.) et non pour des raisons de santé humaine. Je te renvoie au texte de la décision, je ne l'ai pas sous la main mais il est bien sûr consultable sur le site de la Commission et donne tous les détails.PaddyBerlin a écrit :
Pourquoi l Union européenne a t elle interdit la Somatotropine bovine de synthèse?
Ah oui je trouve que c'est une raison largement suffisante pour interdire ça. Des mastites chroniques chez une vache c'est pas beau à voir.PaddyBerlin a écrit :Et ça te suffit comme raison?
Pardon mais je n'ai pas compris...Alors qu elle vient de voter le ceta.
Elle se préoccupe de la santé de l animal mais pas mort en fait.
Le problème est que ce débat-là ne semble pas fondé sur la science mais sur des peurs et pas mal de démagogie malheureusement.PaddyBerlin a écrit :Les hormones de croissances sont aussi présentes dans les bêtes à viande puisque l hormone de croissance synthétique est autorisée aux USA et commercialisée par Monsanto.
Viande que l on veut importer des USA.
Bref, avant qu un nouveau scandale nous explose à la figure par l appât du gain de l agronalimentaire et d un risque sous estimé, chacun fait comme il veut ,mais faudra pas hurler après.
Mais tu te bases sur quoi au juste pour affirmer ça ?PaddyBerlin a écrit :Ben justement, il y avait sans doute moins de risques à consommer des produits laitiers ,il y a 40 ans.
Un lien de causalité avec les produits laitiers a-t-il été établi ? Non... alors pourquoi entretenir cette méfiance alors qu'on n'a aucune donnée scientifique pour défendre cette idée ?Il faut voir, l accroissement des troubles hormonaux chez les enfants .
Le principe de précaution est un concept politique et juridique, ce n'est pas un concept scientifique. Il est appliqué à des sujets scientifiques (mais aussi économiques et commerciaux) par des décideurs politiques, avec tout ce que ça peut impliquer comme subjectivité, désaccords, et conflits d'intérêts.PaddyBerlin a écrit :Non, c est juste le principe de précaution qui ne se base pas sur des certitudes établies.
Ce n'est pas la réalité... on ne demande pas que le risque soit prouvé : il suffirait d'un risque non-prouvé mais plausible. Dans le cas de l'IGF aucune hypothèse plausible n'est faite, donc ça tombe à l'eau et aucun scientifique sérieux ne va venir nous dire que c'est un risque à prendre en compte parce qu'on n'a strictement aucune raison de le croire.PaddyBerlin a écrit : C est bien beau d inverser le discours mais c est quand même au consommateur final de prouver qu il y a un risque pour la santé alors que le vendeur lui n a rien à rapporté comme preuve
Parce qu'être endocrinologue en tant que tel n'a jamais été un gage de sérieux, et que la plupart des endocrinos ne font pas de recherche. Henri Joyeux est cancérologue et professeur, ça ne l'empêche pas de raconter n'importe quoi et d'être décrié par ses propres confrères. Il faut arrêter de se laisser berner par les arguments d'autorité d'individus isolés. Ce ne sont pas ces gens-là qui devraient être nos maîtres à penser.PaddyBerlin a écrit :Pourquoi certains endocrinologues évoquent ce risque alors?
Pardon mais là on est en plein dans du discours « post-vérité » où tout est relatif, tout se mélange, et chacun pourrait avoir son opinion sur des faits pourtant établis.PaddyBerlin a écrit :Moi la seule chose que je vois c est qu on met sur le marché des produits avec une garantie minimum de risque faible et démerd*dez vous avec ça.
Non et je le redis, c est au consommateur final de choisir ce qu il veut manger, après tout c est lui qui paye pour manger et se soigner.
C est quand même fort, qu on doive croire l agro alimentaire qui n avance aucune preuve que leur produits sont propres à la consommation sur le long terme et pas la parole des professionnels de santé qui eux constatent les dégâts.