Titre
Oui ? Non ?
Sur les polis ? les isolations ?
Perso je vais toujours à l'échec sauf pour le Squat / SDT / et DC
Si je pousse à l'échec sur ces exos, au bout d'une semaine, j'ai plus de force, mon système nerveux en pls
Faut-il pousser jusqu'à l'échec ?
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Re: Faut-il pousser jusqu'à l'échec ?
Perso je pousse à l'échec toutes mes séries sur tous mes exos: squat, presse (le pire), développé, poulie, isolation... ça marche pour moi (+11kg en 1 an), mais je n'oserais faire de mon cas une généralité.
Beaucoup te déconseilleront de le faire, il n'est en effet pas nécessaire d'aller jusque là pour progresser, tant que tu adoptes une stratégie réfléchie avec un système de séries/reps productif.
Beaucoup te déconseilleront de le faire, il n'est en effet pas nécessaire d'aller jusque là pour progresser, tant que tu adoptes une stratégie réfléchie avec un système de séries/reps productif.
Squat: 260 / Bench: 156 / Deadlift: 282.5 = 698.5
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Re: Faut-il pousser jusqu'à l'échec ?
C'est difficile à dire car ça dépend de chacun. Personnellement je ne le conseillerai pas car souvent la chute de performance au fil des séries est trop importante. Mais ce n'est que mon avis et je le répète ça dépend de chacun.
Pour donner un exemple et dire à quel point il faut connaitre son corps pour savoir ce qui est bon pour nous, Dayron Robles, champion olympique du 110m haies en 2008 s'est fait une séance de squat en excentrique la veille de la finale, qu'il a remporté facilement. Personne ne lui aurait conseillé de faire ça, et pourtant pour lui ça marche...
Pour donner un exemple et dire à quel point il faut connaitre son corps pour savoir ce qui est bon pour nous, Dayron Robles, champion olympique du 110m haies en 2008 s'est fait une séance de squat en excentrique la veille de la finale, qu'il a remporté facilement. Personne ne lui aurait conseillé de faire ça, et pourtant pour lui ça marche...
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Re: Faut-il pousser jusqu'à l'échec ?
pas forcément. quand on travaille avec des séries productives, il faut faire moins de séries. travailler en s’économisant pour la suite n'est pas forcément productif, sauf pour un débutant. j'ai toujours travaillé avec uniquement des séries productives, ce qui m'a permis d'avoir des séances plus courtes pour autant d'efficacité. c'est comme si on comparait les cuisses d'un sprinter et d'un marathonien. court et dur pour la masse.la chute de performance au fil des séries est trop importante
j'ai 60 ans, plus de 35 ans d'entrainement. j'ai été responsable d'une petite salle pendant 20 ans. je mesure 1m77 et pèse 93 kgs.
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Re: Faut-il pousser jusqu'à l'échec ?
Si tu cites, cite la phrase entière. Le souvent à son importance! Dans la majorité des programmes proposés si tu vas à l'échec je ne pense pas que ce soit le plus productif.clementxiii a écrit : car souvent la chute de performance au fil des séries est trop importante.
Après, on en revient à ce que je disais, au point où tu en es toi tu connais ton corps et tu sais ce qui fonctionne pour toi. Il faut s'adapter à soi même.
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Re: Faut-il pousser jusqu'à l'échec ?
Effectivement, il faut être cohérent : soit on pousse à l'échec et on diminue le nombre de séries, soit on fait plus de séries en "fatigue cumulative". Choisir est aussi une question de goût, bien sûr, mais l'avantage de pousser à l'échec, ou presque, est de raccourcir le temps d'entraînement. En ce qui me concerne, c'est échec ou quasiment pour les séries plus longues, et cumulatif pour les séries courtes, 6 reps ou moins. A chacun de trouver son équilibre.